J’ai été obligé d’arrêter les études à la classe de 3ème faute de moyens et pour aider mes parents. A force de travailler dur, j’en suis arrivé à créer des emplois à travers ma marque qui s’arrache parfois à 100.000 Fcfa/pièce.
J’ai été obligé d’arrêter les études à la classe de 3ème faute de moyens et pour aider mes parents. A force de travailler dur, j’en suis arrivé à créer des emplois à travers ma marque qui s’arrache parfois à 100.000 Fcfa/pièce.
Des femmes et des hommes talentueux, des histoires qui inspirent, le Sénégal en regorge tellement. C’est le moment de les mettre en lumière…