Fanta CAMARA, PDG de SEE MAG est une jeune fille de 21ans qui a juste eu un engagement très tôt. Elle a toujours été passionnée du changement social, de la recherche de solution, de sensibilisation… depuis son bas âge. Fanta initiait souvent des activités en faveur de la protection de l’environnement et autres activités sociales même avant d’avoir son baccalauréat. Elle a fréquenté pas mal d’organisations au Sénégal depuis ses 15 ans. L’entrepreneuse précoce ne rate jamais l’occasion de s’imposer en occupant des postes de responsabilité, faisant preuve de leadership.
La jeune dakaroise a fait tout son parcours scolaire dans la capitale. Ayant fréquenté le groupe scolaire Saint Jean de Dieu où elle a fait tout son parcours élémentaire et collège, Fanta a rejoint l’institut Marc Perrot de la seconde à la Terminale. Après son baccalauréat, elle s’inscrit à l’institut des hautes études en énergies où elle suit la filière Énergies, mines et environnement. La société SEE Company SARL a été créée en juillet 2021 et le magazine est d’ailleurs une des filiales de cette entreprise qu’elle dirige.
Elle ambitionne de faire de SEE MAG, le 1er média de la durabilité en Afrique. Elle ambitionne également de créer un grand groupe de média pour étendre son influence afin de mieux sensibiliser son public sur les questions de la durabilité. Pour Fanta, tout le monde doit s’engager mais doit d’abord connaître le pourquoi et sur quoi. Mieux encore, elle caresse le rêve de s’imposer comme un intermédiaire indispensable entre les Nations unies et les peuples à travers son futur groupe de presse. Rêveuse, Fanta passe son temps à imaginer des créations, de belles innovations qu’elle peut apporter pour changer le quotidien de ses semblables. C’est une mission qu’elle s’est toujours donnée. Elle rêve d’un monde meilleur et surtout très durable. C’est-à-dire, un monde où l’environnement est sain, la santé améliore, la pauvreté et la faim recule, les femmes croient en elles et se lancent afin d’apporter à leur tour leurs solutions au monde, et où l’humain se sent en vie et s’implique.
La première édition de son magazine, sortie en novembre dernier, juste après le Magal, traitait une thématique en rapport avec le manque d’eau et le problème d’assainissement à Touba. En Décembre, après la COP 26, est sorti un autre numéro faisant le bilan de la COP et la participation sénégalaise afin de montrer les décisions et actions menées lors de cette rencontre mais également les perspectives. Dernièrement, ils ont parlé de la durabilité du TER en interviewant les sociétés comme SETER, APIX dans le but de débattre de la prise en compte de l’environnement par l’exploitation du TER mais aussi de sensibiliser et informer les usagers. Dans ce numéro, des usagers du TER ont témoigné, des Sénégalais de la Diaspora apprécient de loin, encouragent le gouvernement sénégalais et envoient des messages à leurs compatriotes pour la durabilité du TER. Actuellement, ils préparent un numéro spécial sur le forum de l’eau pour le mois d’avril qui fera le bilan du forum.
